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De formation j'ai un bachelor de Sciences et Pratiques du Sport, Littérature Allemande et d'Histoire, que j'ai réalisé à l'université de Neuchâtel où j'ai commencé à suivre les cours dès 2017.

J'ai également fait deux ans de HEP à Bienne, pour obtenir un Master en pédagogie qui me permet d'être enseignant au niveau secondaire I, soit pour les élèves de 12-16 ans.

Si vous désirez voir défiler régulièrement mes images, n'hésitez pas à vous abonner à mon compte instagram où je suis très actif.

Je m'appelle Mickaël Sauser...

...je suis né dans le Jura Bernois (Suisse) en 1997.

Enseignant de sport et d'allemand à l'école secondaire de Saignelégier,

Fils et petit-fils d'agriculteur, je vis dans la campagne où mon grand-père m' a fait découvrir la beauté de la nature et surtout des animaux sauvages. Après avoir découvert mon premier appareil réflex en 2015, j'ai pu réellement débuter en photographie animalière l’année suivante avec une expérience qui me marqua à jamais : une renarde qui allaitait ses quatre renardeaux. Passant mon temps avec eux tout l’après-midi, la renarde avait accepté ma présence.

Ce qui me fascine particulièrement dans la photographie c'est de figer un moment, une ambiance ou une émotion qui ne reviendra jamais, tout ça avec des détails parfaits.

 

Lorsque je vais en forêt, cela m'arrive de rester en affût des heures durant sans bouger, à attendre le passage d’un animal. Tantôt dans un froid glacial ou une tempête de neige, tantôt sous un soleil de plomb ou accompagné de moustiques, les sorties en forêt ne sont pas toujours concluantes. Cependant, lorsqu’un affût est fructueux, quelle satisfaction de revivre le moment sur un écran ou sur du papier ! On peut alors apercevoir le moindre détail sur une image, et chacune de ces images permet également de raconter une histoire, de montrer la beauté de la nature. C’est tout cela qui rend la photographie animalière aussi passionnante à mes yeux.

 

Actuellement, c’est principalement l’observation des goupils qui me passionne : passer des heures à observer leurs habitudes, leur comportement, les interactions entre les différents individus d’un même terrier. C’est toute une vie et un caractère unique qui se cache derrière le moindre renard, qui reste malheureusement considéré comme nuisible aux yeux des chasseurs qui trouveront chaque argument bon pour abattre l’animal, pourtant tellement utile aux agriculteurs. Le « prédateur » mange en effet plus de 6000 rongeurs par an, évitant ainsi des milliers de francs de dégâts.

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